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Toute l'information des frontaliers

Auteur/autrice : Florent

souscrire une assurance privée frontalier : les meilleures options

Souscrire une assurance privée frontalier : les meilleures options

La vie d’un travailleur frontalier est parsemée de spécificités, dont l’une des plus importantes est l’assurance privée. Vous vous demandez quelle est la meilleure option pour vous ? Découvrons ensemble tout ce qu’il faut savoir sur les assurances privées pour travailleurs frontaliers et comment faire le choix le plus éclairé possible. Read More

la suisse déroule le tapis rouge à 85 000 travailleurs étrangers : salaires mirobolants et avantages alléchants à la clé !

La Suisse déroule le tapis rouge à 85 000 travailleurs étrangers : Salaires mirobolants et avantages alléchants à la clé !

La Suisse, connue comme l’un des pays les plus prospères au monde, ouvre ses portes aux travailleurs étrangers en lançant des offres d’emploi avec des salaires très attractifs. Ces salaires vont de 3 500 euros à 6 500 euros, ce qui en fait une opportunité intéressante pour de nombreux candidats. Les Français peuvent également prétendre à un statut spécial grâce aux accords bilatéraux entre la France et la Suisse. Read More

le télétravail au luxembourg: un phénomène pandémique ou l’aube d’une nouvelle Ère professionnelle?

Le Télétravail au Luxembourg: Un Phénomène Pandémique ou l’Aube d’une Nouvelle Ère Professionnelle?

Popularisé par la crise sanitaire, le télétravail est toujours une réalité pour bon nombre de salariés au Luxembourg, selon les dernières données du Statec. Entre le seuil social et le seuil fiscal, le télétravail des travailleurs frontaliers du Luxembourg a régulièrement fait parler de lui ces derniers mois. Mais quid des résidents luxembourgeois qui travaillent depuis chez eux? Au second trimestre 2020, le travail à distance avait enregistré un véritable pic, avec 52% des résidents indiquant télétravailler, contre seulement 26% lors du trimestre précédent. Deux ans plus tard, les télétravailleurs sont moins nombreux au Luxembourg, mais la crise sanitaire semble avoir donné un véritable élan à la pratique, selon les dernières données publiées par le Statec. Ainsi, au second trimestre 2023, 32% des résidents ont pratiqué du télétravail, soit 1% de moins que lors du premier trimestre de l’année. Le phénomène semble ainsi s’être stabilisé « à un niveau élevé, environ deux fois supérieur à celui d’avant la pandémie », notent les statisticiens. Lorsque l’on se penche sur le nombre d’heures télétravaillées par semaine, on remarque qu’un grand nombre d’employés travaillaient depuis chez eux à temps complet en 2020 (entre 50 et 58%) et en 2021 (30 à 50%). En 2023 en revanche, ce taux tombe à 9%, tandis que 43% des résidents ont indiqué télétravailler deux à trois jours par semaine. Là aussi, la pandémie a influé sur le comportement des travailleurs. Et si seulement 10% des employés ont presté moins d’une journée de télétravail par semaine en 2023, ils étaient encore 40% avant la crise sanitaire, ce qui souligne l’essor de la pratique.

Différents facteurs

Un essor par rapport à la situation pré-pandémique est tout de même à nuancer. La branche d’activité du salarié conditionne logiquement son recours au télétravail. Ainsi, si les activités extraterritoriales (80% de télétravail), les activités financières et d’assurances (72%), et les activités d’information et de communication (68%) se prêtent particulièrement au travail à distance, ce n’est pas le cas des secteurs de l’horeca, de la santé ou du transport. Les secteurs comptant le plus grand nombre d’employés de bureau, aussi appelés cols blancs, ont donc connu la plus forte croissance du phénomène de télétravail pendant la pandémie. Dans ce contexte, l’administration publique se démarque particulièrement, le pourcentage de recours au télétravail ayant plus que quadruplé en son sein, à l’image de la branche des activités financières et d’assurance. La disparité du recours au travail à distance se vérifie également selon la hiérarchie du télétravailleur. Si les travailleurs cols blancs qualifiés sont encore 57% à travailler fréquemment à distance en 2023, seul 25% des professionnels intermédiaires et 11% des cols blancs y ont recours. Les travailleurs exerçant une profession manuelle, appelés cols bleus, sont 1 à 3% à avoir recours au télétravail.

Quatrième à l’échelle européenne

Les cols bleus ont par ailleurs constaté une absence d’essor du télétravail pendant la pandémie, le recours au travail à distance diminuant, même, en 2020. « Cet écart est lié à l’éducation, ou plus particulièrement aux tâches et compétences numériques utilisées dans le cadre professionnel », indique le Statec, qui rappelle par ailleurs que 47% des travailleurs utilisent des compétences numériques au Luxembourg. Alors que le phénomène du travail à distance semble s’être stabilisé au Grand-Duché, ce dernier reste parmi les premiers du classement en matière de travail à domicile à travers l’Europe. Figurant dans le top 3 européen en matière de travail à distance en 2020 et 2021, le Luxembourg est devancé en 2022 par les Pays-Bas (53% de télétravailleurs), la Suède (45%) et la Norvège (42%). A l’échelle du Vieux continent, seuls 5% des actifs pratiquaient régulièrement le télétravail en 2019. Un taux qui s’est envolé pour atteindre 13% en 2021 pour redescendre à 10% en 2020. Certains pays se démarquent de cette tendance, à l’instar de la Finlande qui n’a pas connu de réduction de la part de télétravailleurs depuis 2020.

découvrez le labyrinthe des salaires en suisse : secteurs dorés, cantons généreux et astuces pour les frontaliers !

Découvrez le labyrinthe des salaires en Suisse : Secteurs dorés, Cantons généreux et astuces pour les frontaliers !

Les secteurs les mieux rémunérés et ceux à éviter

La Suisse est connue pour ses salaires élevés, mais tous les secteurs ne se valent pas en termes de rémunération. Certains domaines offrent des salaires moyens particulièrement attractifs, tandis que d’autres sont moins bien rémunérés.

Les secteurs financiers et le tabac font partie des secteurs les mieux rémunérés en Suisse. La finance est un secteur clé de l’économie suisse, attirant des travailleurs qualifiés et expérimentés. Les grandes entreprises internationales présentes dans le pays offrent des salaires très compétitifs. De même, le secteur du tabac, bien que moins connu, propose également des salaires attractifs grâce à la présence de ces grandes entreprises.

En revanche, l’hôtellerie et la restauration sont les secteurs où les salaires sont généralement moins élevés. Malgré le tourisme prospère en Suisse, les salaires dans ces secteurs ne sont pas aussi élevés que dans d’autres domaines. Cela peut influencer le choix des travailleurs quant à leur orientation professionnelle et les inciter à se tourner vers des secteurs plus rémunérateurs.

Il est donc essentiel de bien connaître les secteurs d’activité et leurs niveaux de rémunération afin de choisir une orientation professionnelle adaptée à ses compétences et à ses aspirations. Des plateformes telles que Indeed en Suisse peuvent être d’une grande aide pour orienter les travailleurs dans leur choix de carrière.

Le détail du salaire minimum cantonal

En Suisse, cinq cantons appliquent un salaire minimum : Genève, Neuchâtel, Jura, Tessin et Bâle-Ville. Le montant du salaire minimum varie d’un canton à l’autre en fonction de la législation cantonale.

À Genève, le salaire minimum est de CHF 23 par heure, ce qui équivaut à environ CHF 4’182 par mois pour une semaine de travail de 42 heures. À Neuchâtel et Jura, le salaire minimum est de CHF 20 par heure, soit environ CHF 3’640 par mois. Dans le canton du Tessin, le salaire minimum est de CHF 19 par heure, soit environ CHF 3’200 par mois. Enfin, Bâle-Ville propose un salaire minimum de CHF 21 par heure.

Il est important de noter que ces montants sont réévalués chaque année en fonction de l’indice des prix à la consommation. Certains cantons n’augmentent le salaire minimum que si cet indice augmente, ce qui signifie que le montant peut potentiellement baisser d’une année sur l’autre.

La variation du salaire minimum d’un canton à l’autre reflète la diversité législative et économique de la Suisse.

Impact du coût de la vie sur le revenu

Le coût de la vie élevé en Suisse a un impact significatif sur le pouvoir d’achat des travailleurs. Les dépenses mensuelles moyennes par ménage s’élèvent à 4564 CHF, ce qui représente une part importante du revenu. Les dépenses incompressibles telles que l’assurance maladie et le logement pèsent lourdement sur le budget des ménages.

Il est essentiel de prendre en compte ces facteurs lorsqu’on évalue son salaire et sa qualité de vie en Suisse. Malgré le coût de la vie élevé, le pays reste attractif pour de nombreux travailleurs en raison de la qualité des infrastructures, des services publics et de l’environnement. La stabilité économique et politique, ainsi que le faible taux de chômage, sont autant d’atouts qui incitent les travailleurs à s’installer et à travailler en Suisse.

Solutions de change pour les frontaliers français

De nombreux travailleurs frontaliers français choisissent de travailler en Suisse tout en vivant en France, notamment dans les régions frontalières. Pour faciliter le transfert de leur salaire suisse vers leur compte français, des services offrent des solutions de change sans frais et avec des taux de change transparents.

quand l’amicale des frontaliers flirte avec l’urssaf : une romance transfrontalière inattendue !

Quand l’Amicale des Frontaliers flirte avec l’Urssaf : une romance transfrontalière inattendue !

Les frontaliers français travaillant en Suisse bénéficient désormais d’une nouvelle convention de partenariat entre l’Amicale des frontaliers et le Service des travailleurs frontaliers en Suisse (STFS) de l’Urssaf Rhône-Alpes. Cette collaboration vise à améliorer la prise en charge des cotisations d’assurance maladie des frontaliers et à faciliter les échanges d’informations pratiques.

Une coopération bénéfique pour les frontaliers

Si le Groupement transfrontalier européen est l’association de service aux frontaliers la plus connue, il existe également l’Amicale des frontaliers qui vient de signer cette convention avec l’Urssaf. Cette entente permettra à l’Urssaf de mieux prendre en charge les dossiers complexes des adhérents de l’Amicale, en fournissant des informations pratiques dans la publication trimestrielle de l’association et en formant les salariés à la gestion des cotisations d’assurance maladie.

Les frontaliers français travaillant en Suisse sont soumis à des règles spécifiques en termes de cotisations sociales et d’assurance maladie. La collaboration entre l’Amicale des frontaliers et l’Urssaf Rhône-Alpes vise à faciliter ces démarches administratives et à apporter un soutien aux travailleurs frontaliers dans le calcul et le recouvrement de leurs cotisations.

Une meilleure prise en charge des dossiers complexes

L’Amicale des frontaliers compte de nombreux adhérents pour qui la gestion des cotisations sociales peut s’avérer complexe. Grâce à cette convention avec l’Urssaf, les frontaliers pourront bénéficier d’une assistance accrue dans le traitement de leurs dossiers, en particulier pour les situations plus délicates.

L’Urssaf Rhône-Alpes, via son Service des travailleurs frontaliers en Suisse (STFS), mettra à disposition de l’Amicale des frontaliers des informations pratiques et actualisées sur les modalités de calcul et de recouvrement des cotisations d’assurance maladie. Cela permettra aux adhérents de mieux comprendre leurs droits et obligations en tant que frontaliers et de faciliter leur démarche administrative.

Des formations pour les salariés de l’Amicale

En plus des informations pratiques, l’Urssaf Rhône-Alpes s’engage également à former les salariés de l’Amicale des frontaliers afin qu’ils puissent mieux accompagner leurs adhérents dans la gestion des cotisations sociales. Cette formation permettra aux salariés d’acquérir les connaissances nécessaires pour répondre aux questions des frontaliers et les aider à remplir correctement leurs obligations.

Cette collaboration entre l’Amicale des frontaliers et l’Urssaf Rhône-Alpes renforce ainsi le soutien apporté aux frontaliers français travaillant en Suisse. Grâce à une meilleure prise en charge des dossiers complexes, des informations pratiques régulières et une formation adaptée, les travailleurs frontaliers pourront bénéficier d’une assistance de qualité dans leurs démarches administratives.

Cette convention de partenariat entre l’Amicale des frontaliers et l’Urssaf Rhône-Alpes marque une avancée significative dans l’accompagnement des frontaliers français travaillant en Suisse. Elle permettra de faciliter les échanges d’informations, de mieux prendre en charge les dossiers complexes et d’assurer une formation adéquate des salariés de l’Amicale. Les frontaliers pourront ainsi bénéficier d’un soutien renforcé dans la gestion de leurs cotisations d’assurance maladie, simplifiant ainsi leurs démarches administratives.

explosion de super cerveaux transfrontaliers: comment le grand est a t il boosté ses compétences?

Explosion de Super-Cerveaux Transfrontaliers: Comment le Grand Est a-t-il boosté ses compétences?

Depuis vingt ans, le nombre de travailleurs frontaliers dans le Grand Est a connu une augmentation générale. Selon une étude de l’Insee, cette hausse s’est accompagnée d’une augmentation encore plus forte dans les professions très qualifiées. Ainsi, le niveau de diplôme des travailleurs frontaliers a rejoint, voire dépassé, celui des non-frontaliers.

L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié une mise à jour de ses données concernant le travail frontalier dans le Grand Est. Cette étude met en évidence les grandes tendances observées entre 1999 et 2018, telles que la forte hausse du nombre de frontaliers vers le Luxembourg, la Belgique et la Suisse, ainsi que la baisse vers l’Allemagne. De plus, elle souligne les principaux secteurs géographiques et économiques attirant des Français et leurs zones de résidence.

Dans cette nouvelle étude, les chercheurs Olivasoa Razafindramanana et Loïc Rousseau se sont penchés sur les postes occupés par les travailleurs frontaliers et leur qualification. Ils ont constaté que les cinq professions les plus courantes chez les frontaliers sont vendeur, conducteur de véhicules, cariste, magasinier et ouvrier non qualifié des industries de process (chimie, pharma, agroalimentaire, métallurgie, bois et papier). Ces professions diffèrent nettement des professions les plus courantes chez les travailleurs non frontaliers.

Cependant, le phénomène le plus remarquable au cours des vingt dernières années est le triplement du nombre de frontaliers exerçant une profession très qualifiée, passant de 9 300 à près de 30 000. Cette hausse est particulièrement marquée chez les frontaliers travaillant au Luxembourg, en Suisse et en Allemagne. Les cadres des services administratifs, comptables et financiers, les ingénieurs et cadres techniques de l’industrie, les ingénieurs informatiques, et les personnels d’études et de recherche concentrent 60 % de cette progression.

Parallèlement à cette montée en gamme, le niveau de diplôme des travailleurs frontaliers a également nettement augmenté. Le taux de diplômés de l’enseignement supérieur est désormais aussi élevé parmi les frontaliers que parmi les non-frontaliers, voire supérieur de trois points pour les diplômes de niveau bac + 5 ou plus.

En revanche, le nombre d’ouvriers non qualifiés parmi les frontaliers est en baisse. Cette diminution est particulièrement marquée en Allemagne, où le nombre d’ouvriers non qualifiés a été réduit de moitié. Les auteurs de l’étude avancent plusieurs raisons à cette tendance, notamment une maîtrise moins répandue de la langue allemande chez les ouvriers non qualifiés alsaciens et mosellans, ainsi que la montée en gamme et les délocalisations des activités de production de base dans l’industrie allemande.

L’augmentation du nombre de travailleurs frontaliers dans le Grand Est s’accompagne d’une montée en gamme des professions exercées. Les travailleurs frontaliers se dirigent de plus en plus vers des postes très qualifiés, tels que les ingénieurs, les cadres et les professionnels de la santé. Cette évolution s’explique par les opportunités offertes par les pays frontaliers, notamment le Luxembourg et la Suisse, qui attirent de plus en plus de travailleurs qualifiés.

décodez les 3 piliers mystérieux de la retraite au luxembourg : secrets et avantages révélés !

Décodez les 3 piliers mystérieux de la retraite au Luxembourg : secrets et avantages révélés !

La retraite est un sujet important pour tous les travailleurs, et au Luxembourg, elle repose sur les fameux « trois piliers ». Comprendre ces piliers est essentiel pour bien préparer sa retraite et en profiter pleinement. Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail les trois piliers de la retraite luxembourgeoise.

Le premier pilier: la retraite de la sécurité sociale

Le premier pilier de la retraite luxembourgeoise est la retraite de la sécurité sociale. Il s’agit de la retraite obligatoire à laquelle chaque travailleur cotise tout au long de sa carrière. Les cotisations sont prélevées sur le salaire brut du travailleur, ainsi que sur celui de l’employeur et directement à l’État. Ces cotisations alimentent les fonds de la Caisse nationale d’assurance pension.

Ce premier pilier repose sur le principe de solidarité entre les générations. Les travailleurs cotisent pour les retraités actuels, et les futurs travailleurs cotiseront pour vous lorsque vous prendrez votre retraite. Il est donc crucial de cotiser régulièrement afin de bénéficier d’une pension confortable.

Avec 40 années de cotisations à temps plein, un travailleur peut prétendre à recevoir au moins 2.219,71 euros de pension (au 1er septembre 2023). Cependant, il est important de noter que ce montant peut varier en fonction de votre salaire moyen et de la durée de cotisation.

Le deuxième pilier: le régime complémentaire

Le deuxième pilier de la retraite luxembourgeoise est le régime complémentaire. Ce pilier repose sur votre employeur, qui peut mettre en place un régime complémentaire de pension pour ses employés. Dans ce cas, il versera des cotisations équivalentes à un pourcentage défini de votre salaire. Vous avez également la possibilité d’ajouter une part de votre paie si vous le souhaitez.

Ce régime complémentaire offre un avantage fiscal intéressant. Jusqu’à 1.200 euros de cotisations peuvent être retirées de votre revenu imposable chaque année, ce qui équivaut à un versement volontaire de 100 euros par mois. De plus, les prestations du deuxième pilier sont exemptées d’impôts au Luxembourg à la sortie du contrat, car ceux-ci sont réglés par l’employeur à l’entrée. Cependant, un frontalier pourrait potentiellement être imposable dans son pays de résidence.

Le troisième pilier: la prévoyance-vieillesse

Enfin, le troisième pilier de la retraite luxembourgeoise est la prévoyance-vieillesse. Ce pilier est facultatif et vous permet de souscrire à un contrat de prévoyance-vieillesse auprès d’un établissement bancaire ou d’assurance luxembourgeois.

Comme pour le deuxième pilier, la prévoyance-vieillesse offre un avantage fiscal intéressant. Jusqu’à 3.200 euros de cotisations peuvent être soustraites à votre revenu imposable chaque année (6.400? par an pour les couples). Cependant, pour bénéficier de cet avantage fiscal, le contrat doit durer au moins dix ans.

À la sortie du contrat, le paiement de la prévoyance-vieillesse peut prendre différentes formes, telles que le versement d’un capital, d’une rente viagère ou d’un retrait annuel. Les impositions sur ces prestations sont variées, mais avantageuses à partir de 60 ans.

La retraite luxembourgeoise repose sur les trois piliers de la sécurité sociale, du régime complémentaire et de la prévoyance-vieillesse. Il est important de cotiser régulièrement et de planifier sa retraite en tenant compte de ces piliers.

chasse aux carburants à prix mini : comment les frontaliers raflent la mise aux frontières !

Chasse aux Carburants à Prix Mini : Comment les Frontaliers Raflent la Mise aux Frontières !

Les frontaliers continuent de traverser la frontière pour faire le plein de carburant. La hausse des tarifs des carburants pousse de nombreux automobilistes à chercher la meilleure offre, et parfois, cela signifie simplement traverser la frontière. Dans cet article, nous allons explorer les différents pays voisins où les frontaliers peuvent trouver des prix plus avantageux.

Pour les Alsaciens et les Mosellans, traverser le Rhin pour faire le plein de carburant est une habitude bien ancrée. Selon l’ADAC (Allgemeiner Deutscher Automobil-Club), le litre de diesel coûte en moyenne 1,86 euro en Allemagne, tandis que le Super E10 (essence) fluctue autour d’1,90 euro. Certains automobilistes utilisent même des applications qui leur permettent de trouver les moments où le diesel est moins cher dans la journée. En se rendant en Allemagne, ils peuvent économiser jusqu’à dix euros par plein d’essence.

La principauté d’Andorre, située entre la France et l’Espagne, propose des taxes très faibles sur les produits manufacturés, ce qui se traduit par des prix très attractifs pour le carburant. Le litre de SP95 y coûte 1,50 euro, le SP98 est à 1,59 euro et le gazole à 1,45 euro. Il faut se rendre en Roumanie ou en Bulgarie pour trouver des prix encore plus bas en Europe. Cependant, Andorre se mérite dans les Pyrénées, à moins de prendre la route entre Toulouse et Barcelone par exemple.

La Belgique offre généralement des prix de carburant moins élevés, principalement en raison d’une fiscalité moins lourde. Pour un plein de 50 litres de SP95 (E10), il en coûtera entre 83,95 et 87,40 euros en Belgique, contre près de 100 euros en France. Cela représente une économie pouvant aller jusqu’à 14%. Les autres carburants, tels que le SP98 (E5) et le gazole, présentent également des différences de prix, bien que moins flagrantes.

L’Espagne est également une destination prisée pour les frontaliers à la recherche de carburant moins cher. Les prix varient selon les régions, mais dans certaines localités, le prix du E95 est à 1,49 euro, ce qui permet de réaliser des économies significatives par rapport aux prix français. Certains habitants des villes frontalières profitent de ces différences de prix pour faire le plein en Espagne et économiser jusqu’à 16 euros sur un plein de diesel.

Au Luxembourg, les prix du carburant sont souvent plus élevés, mais restent attractifs pour les frontaliers français. Le litre de SP95 y est actuellement à 1,64 euro et le gazole à 1,70 euro. Certains automobilistes français font le choix de se rendre au Luxembourg pour faire le plein de carburant, mais également pour acheter de l’alcool, des cigarettes et d’autres produits moins chers qu’en France.

Enfin, la Suisse propose également des prix du carburant relativement élevés. Cependant, en cherchant un peu, certaines stations suisses affichent des prix de SP95 en dessous de 1,80 euro, bien que ces stations soient souvent éloignées de la frontière française. Malgré tout, certains frontaliers travaillant en Suisse font le choix de faire le plein dans ce pays pour réaliser des économies.

Les frontaliers continuent de traverser la frontière pour trouver des prix plus avantageux pour le carburant. Que ce soit en Allemagne, en Belgique, en Espagne, au Luxembourg ou en Suisse, les différences de prix peuvent représenter des économies significatives pour les automobilistes. Cependant, il est important de prendre en compte les coûts supplémentaires liés aux trajets et de s’assurer de respecter les réglementations douanières lors du transport de produits d’un pays à l’autre.

découvrez le salon du frontalier 2023 : l?Événement incontournable pour naviguer le monde transfrontalier franco suisse!

Découvrez le Salon du Frontalier 2023 : L?Événement Incontournable pour Naviguer le Monde Transfrontalier Franco-Suisse!

Cette année, le Groupement transfrontalier européen organise la 19ème édition du Salon du Frontalier, un événement d’information, de rencontres et d’échanges dédié aux travailleurs frontaliers franco-suisses. Prévu les 29 et 30 septembre 2023, le salon se tiendra dans un nouveau lieu, le parc des expositions Rochexpo à La Roche-sur-Foron, en Haute-Savoie.

Le Salon du Frontalier offre aux visiteurs l’opportunité d’en apprendre davantage sur la vie du frontalier et l’environnement franco-suisse. Le programme du salon comprendra des ateliers, des conférences et de nombreux espaces d’échanges où les participants pourront poser leurs questions et obtenir des conseils. Un village d’exposants sera également présent, proposant des offres adaptées au parcours de vie des frontaliers.

L’événement rassemble les entreprises, ainsi que les différents acteurs du monde frontalier, privés, institutionnels et associatifs. Les visiteurs auront également l’occasion de profiter de nombreuses animations telles que des food trucks, des jeux concours, du réseautage et même un job dating.

Le Salon du Frontalier est devenu au fil des années LE rendez-vous annuel des transfrontaliers. Il permet aux frontaliers, qu’ils soient français, européens ou suisses, de rencontrer des acteurs économiques et institutionnels afin de s’informer sur des thématiques variées telles que la protection sociale, le marché du travail, la fiscalité, la santé, l’immobilier, le transport et la banque.

L’événement est organisé par le Groupement transfrontalier européen (GTE), une association qui informe, accompagne et défend les travailleurs frontaliers tout au long de leur parcours de vie. Fort de ses 30 000 adhérents, le GTE met à disposition des visiteurs son équipe d’experts qui sera présente sur le stand pour répondre à toutes leurs questions.

Le Salon du Frontalier 2023 coïncide également avec le 60e anniversaire de la création du GTE. Cette association a joué un rôle essentiel dans l’obtention de nombreux droits dont bénéficient aujourd’hui les frontaliers, tels que l’assurance maladie, l’assurance invalidité, l’assurance chômage et les allocations familiales différentielles.

Le changement de lieu du salon cette année vise à offrir une expérience plus moderne et conviviale aux visiteurs. Le parc des expositions Rochexpo à La Roche-sur-Foron offre une palette de services plus large que l’ancien lieu à Annemasse, et permet d’accueillir davantage de visiteurs, d’exposants, de conférenciers et de spécialistes.

Pour participer au Salon du Frontalier, l’entrée est fixée à 5 euros par personne, mais elle est gratuite pour les adhérents du GTE et pour les moins de 18 ans. Les visiteurs peuvent réserver leur billet sur le site officiel du salon ou en utilisant l’adresse e-mail utilisée lors de leur adhésion au GTE.

Le Salon du Frontalier 2023 est un événement incontournable pour les travailleurs frontaliers franco-suisses. Il offre un programme riche en ateliers, conférences et moments d’échanges, ainsi qu’un village d’exposants proposant des offres adaptées aux besoins des frontaliers. Que vous soyez étudiants, en recherche d’emploi, en reconversion professionnelle ou retraités, ce salon répondra à vos questions et vous apportera des conseils et des solutions concrètes. Ne manquez pas ce rendez-vous annuel des transfrontaliers !

résidence frontalier : comment optimiser son achat ?

Résidence frontalier : Comment optimiser son achat ?

Acheter une résidence en tant que frontalier peut être une tâche complexe, nécessitant une bonne connaissance des aspects fiscaux et juridiques. Cet article vous propose des conseils clés pour optimiser votre achat et faire le meilleur choix possible en fonction de votre situation. Read More

marché du travail au luxembourg : découvrez les secrets de l’emploi en temps de crise!

Marché du Travail au Luxembourg : Découvrez les Secrets de l’Emploi en Temps de Crise!

Le marché du travail au Luxembourg connaît actuellement des fluctuations, avec une baisse du nombre de postes vacants et une légère augmentation du taux de chômage. Selon les dernières données publiées par l’Agence pour le développement de l’emploi (Adem) du Luxembourg, le nombre d’emplois disponibles a diminué, avec 8 966 postes vacants enregistrés fin septembre 2023, contre 9 088 à la fin du mois d’août. Parallèlement, le taux de chômage a connu une légère augmentation, passant de 5,3 % à 5,5 % sur la même période.

Ces chiffres peuvent être préoccupants pour les personnes à la recherche d’un emploi au Luxembourg. Cependant, il est important de noter que certains secteurs continuent de recruter activement. L’Adem a également publié une liste des dix secteurs qui recrutent le plus en septembre 2023. Ces informations, ainsi que la liste des métiers en pénurie de main-d’?uvre publiée par le gouvernement en septembre dernier, devraient être utiles aux frontaliers à la recherche d’un emploi au Luxembourg.

Selon l’Adem, 2 706 non-résidents étaient à la recherche d’un emploi au Luxembourg fin septembre. Cette demande de main-d’?uvre étrangère témoigne de l’attrait du pays en termes d’opportunités professionnelles. Cependant, il est essentiel de noter que la concurrence reste féroce, en raison du nombre limité de postes vacants. Les candidats doivent donc se démarquer et mettre en valeur leurs compétences et leurs expériences pour augmenter leurs chances de décrocher un emploi.

Pour les personnes intéressées par le marché du travail au Luxembourg, il est recommandé de rester informé des dernières actualités et tendances. Les médias locaux et les sites spécialisés en emploi au Luxembourg peuvent fournir des informations précieuses sur les opportunités professionnelles et les secteurs en croissance. De plus, il est toujours bénéfique de réseauter et d’établir des contacts dans le pays, car cela peut faciliter la recherche d’emploi.

Bien que le marché du travail au Luxembourg connaisse une baisse des postes vacants et une légère augmentation du taux de chômage, il existe toujours des opportunités pour les personnes à la recherche d’un emploi. Il est important de rester informé, de se démarquer des autres candidats et de mettre en valeur ses compétences pour maximiser ses chances de réussite dans sa recherche d’emploi au Luxembourg.


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